Le jeudi 1 mars

Mercredi, 28 Février 2007 Pause Café - Pause Café
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Oui, la Pause-Café est quotidienne.  Il est donc bon de savoir où sont les Archives.

 

Y a-t-il de la drogue chez nous?
Au cours de la semaine, une série de sondages ont été publiés concernant les interventions policières dans les écoles secondaires de la grande région de Montréal (régions du 450 et du 514).  Je ne retiens pas trop les appels pour violence parce qu'il y a plusieurs versions.  Sur le point de la drogue, on doit cependant se poser des questions. Les 10 écoles secondaires de 1000 élèves et plus où on a le plus d'intervention pour des questions de drogues, sont toutes situées sur notre territoire des Laurentides.  Les quatre écoles secondaires de Saint-Jérôme y sont tout comme les écoles de Ste-Adèle et Ste-Agathe.  St-Jérôme étant la capitale régionale.
Les autres villes d'importance des Laurentides (Blainville, St-Eustache, Deux-Montagnes, Boisbriand, Ste-Thérèse, Terrebonne ont leurs problèmes mais pas dans toutes les écoles.  
Première question : Pourquoi il n'y a pas de motards à St-Jérôme?  Pas nécessaire de jouer les bras ici, c'est tellement facile d'écouler la marchandise. Commerçants du Centre-ville et chauffeurs de taxi jérômiens vous diront qu'il y a souvent des interventions policières sur la rue mais le lendemain, les mêmes jeunes ont recommencé leur commerce.
Deuxième question : Où les jeunes prennent-ils leur argent pour acheter de la drogue?  Ce ne sont généralement pas les p'tits débrouillards qui travaillent chez McDo ou dans les pharmacies  qui sont les gros consommateurs.  Les autres prennent leur argent dans les poches de leurs parents (comment? Allez voir) ou dans les poches de jeunes qui sont taxés.  Comment vérifier? 
 
 
Ce jeudi 1 mars à
Marc Desjardins et Jean-Pierre Jim Beauchamp (1948) 2  prof retraités,  Jocelyn Guévremont,
Jane dite Jeannette Bernard et 
 Jocelyn Richer.
 
«Peut-être un peu cru mais combien vrai » L'accord de cru et de vrai se fait avec l'ensemble et nons les parties.
Et puis alors ? L'hiver s'en va donc l'été s'en vient. Si on pensait maringouins!
 
le lundi 24 février 1997
Gilles Vaillancourt, de passage a Prévost
C'est à Prévost que le président de l'union des municipalités du Québec (UMQ) et maire de LavaL, Gilles Vaillancourt, a amorcé une tournée de consultation qui le ménera dans toutes les régions du Québec, afin de contrer d'éventuels transferts de 1'Etat vers les municipalités. Le vendredi 14 février en soirée, M. Vaillancourt a rencontré les maires et les conseillers des municipalités de la région des Laurentides pour éviter des transferts qui pourraient se traduire par une hausse du fardeau fiscal des citoyens. À cet égard, mentionnons que le gouvernement a déjà coupé environ 250 millions de dollars dans le financement des municipalités et ce, depuis octobre 1994.
 “Dans un contexte où les ressources sont de plus en plus rares et où chacun tente de faire plus avec moins, il importe de connaître le point de vue des maires de la région des Laurentides.  Nous proposons des réformes tout en tentant de contrer de nouvelles coupures gouvernementales” a déclaré M. Valllancourt.
 Des rumeurs persistantes circulent dans les coulisses de l'Assemblée nationale: De nouvelles coupures, atteignant 900 M $ - pourraient être annoncées par le ministre des Finances, Bernard Landry lors du dépôt de son budget en mars prochain. Rappelons que les élus des municipalités membres de l'UMQ représentent 80% de la population du Québec et assument 87% des budgets municipaux globaux.  L'UMQ travaille prioritairement à faire modifier le régime des relations du travail des employés municipaux, car ces derniers gagnent en moyenne 27% de plus que les employés du secteur public québécois. Cet écart atteint 31% avec les employés du secteur privé. L'UMQ veut aussi faire réformer le régime de la fiscalité, puisqu'il ne répond plus aux nouvelles contraintes de financement que le gouvernement impose aux municipalités.

Chaque pomme est une fleur qui a connu l'amour.
Félix Leclerc, auteur, compositeur, interprète, animateur, comédien et écrivain
(La Tuque, 1914 - Île d'Orléans, 1988)
En 1950, Jacques Normand fait entendre à l'imprésario français Jacques Canetti un enregistrement de la chanson Le train du Nord. Dans le temps de le dire, Leclerc se retrouve à l'ABC, triomphe au Trois Baudets à Paris, se tape une tournée en France et enregistre un premier album dont la chanson Moi mes souliers remportera un grand prix de l'Académie Charles-Cro.
 
Au paradis, paraît-il, mes amis
C'est pas la place pour les souliers vernis
Dépêchez-vous de salir vos souliers
Si vous voulez être pardonnés
                               (extrait de Moi mes souliers)

 

Spaghetti avec boulettes
Un médecin a une aventure extra conjugale avec son infirmière.
Elle lui annonce un bon matin qu'elle est enceinte.
Comme le médecin ne veut pas que son épouse ait le moindre doute, il remet à l'infirmière une bonne somme d'argent pour payer un long voyage en Italie.
 
L'infirmière dit : " Mais comment vais-je te faire savoir que bébé est né ? "
- C'est simple, dit-il.  " Fais-moi parvenir une carte postale et écris juste SPAGHETTI sur celle-ci. "
Six mois plus tard, son épouse lui téléphone au bureau et lui dit qu'il a reçu une étrange carte postale d'Italie, à laquelle elle ne comprend rien.
Lorsque je serai à la maison, " dit-il, je t'expliquerai.
En arrivant à la maison, il regarde la carte et tombe au sol victime d'un arrêt cardiaque.
Les ambulanciers arrivent peu de temps après, et en lui donnant les premiers soins, demandent à l'épouse comment sa crise cardiaque est arrivée.
L'épouse leur explique que c'est à la lecture de la carte qu'il s'est effondré et elle lit le texte de la carte:
 
Spaghetti, Spaghetti, Spaghetti, Spaghetti, deux avec des boulettes et deux sans boulettes.
 
Du massacre à la guerre de Religion
Le massacre des protestants au village de Wassy par le duc de Guise et ses hommes, le 1er mars 1562, inaugure les guerres de Religion en France. De 1562 à 1598, huit guerres entre catholiques et protestants endeuillent la France. Il est plus juste, sans doute, de n'en voir qu'une, plus ou moins intense, qui atteint son paroxysme le 24 août 1572 avec les massacres de la Saint-Barthélemy.
 
Numérologie des portes
C'est un 1er mars, en 1768 que, pour faciliter le logement des troupes chez l'habitant, une ordonnance royale prescrit la numérotation des maisons, rue par rue, dans toutes les villes de France. Angers, Caen, Le Mans appliquent la mesure. Les autres n'ont peut-être pas envie de faciliter l'intrusion des soldats dans leurs intérieurs. Elles y viendront progressivement toutefois.
 
 Arrivée de la minijupe
En 1965, André Courrèges fait sensation. Au-delà de la relance du pantalon pour la femme moderne, c'est sa minijupe (moon girl) qui ébranle la mode traditionnelle. Né à Londres au début des années 60, la "miniskirt" lancée par Mary Quant ressemblait plutôt à une robe raccourcie. Celle de Courrèges répond aux aspirations d'une jeunesse impatiente de s'affranchir des tabous sexuels. Elle annonce aussi l'ère des collants, la "fin" des bas et des porte-jarretelles.