« En santé, on ne compte plus les promesses libérales brisées.
Or, c'est d'une véritable vision dont nous avons besoin ! » - Daniel Goyer
Le candidat du Parti Québécois dans la circonscription de Deux-Montagnes, M. Daniel Goyer, s'aligne sur la prévention et la disponibilité des soins de santé dans la région pour toutes et tous,
Mise au point
Récemment l'agrandissement de l'hôpital de Saint-Eustache a fait les frais d'une annonce électoraliste de la part du gouvernement de Jean Charest et la candidate libérale en a profité pour s'approprier le mérite de cette annonce : « Je trouve navrant et pathétique de voir le parti libéral utiliser la santé des gens de la région pour se faire du capital politique. Or, s'il y a une chose que le Parti libéral de Jean Charest a fait dans ce dossier, c'est bien de se traîner les pieds. Il faut savoir, rappelle M. Goyer, que cet agrandissement avait été identifié et promis par le gouvernement de M. Landry : force est donc de constater que nous avons derrière nous quatre années d'inertie libérale, une perte irréparable. Maintenant que l'intention semble bien concrète, il ne reste plus qu'à souhaiter que les budgets correspondants de fonctionnement soient bien au rendez-vous. »
De trois priorités locales
La priorité numéro 1 du candidat Daniel Goyer vise le développement et la consolidation des groupes de médecine familiale (GMF). Actuellement, un trop grand nombre de personnes de plus de 12 ans dans les Laurentides, soit à peu près 30 %, n'ont toujours pas de médecin de famille.
« Avec une telle carence, pas étonnant de voir l'urgence engorgée, elle qui devient vite la seule porte d'entrée pour un service de santé de 1ère ligne. » constate M. Goyer.
La seconde priorité concerne les soins à domicile. « Je partage entièrement et je verrai à sa pleine réalisation , l'engagement d'un gouvernement du Parti Québécois à investir massivement pour accroître les soins à domicile avec une injection de 450 millions $. »
Et le candidat de préciser que dans un contexte de réduction des périodes d'hospitalisation, il est de première importance pour lui de mieux répondre aux besoins des clientèles cibles qui doivent recevoir des soins à la maison, tels que les patients requérant des traitements pré ou postopératoires, les jeunes et adultes atteints d'une déficience, d'un cancer ou encore en phase terminale.
M. Goyer a vécu dans sa famille un évènement qui l'a persuadé de la pertinence des soins à domicile. Il en témoigne ainsi : « Les soins obtenus chez lui auront permis à mon père de demeurer jusqu'à la limite dans son chez-soi, lieu profondément chaleureux et humain. Cela aura retardé le plus possible son entrée dans un centre d'accueil. Ajoutons d'ailleurs que ce maintien à domicile a contribué à diminuer d'autant les frais d'hospitalisation et de séjour dans un centre. »
Le candidat apporte son soutien inconditionnel aux organismes communautaires, à telle enseigne qu'il en fait son 3e engagement pour la population de la circonscription de Deux-Montagnes. Ces organismes jouent, à leur manière, un rôle majeur, et souvent méconnu en matière de prévention en santé.
L'éventail de leur contribution est large, comprenant entre autres l'accompagnement, les services de nourriture, et l'aide aux familles et aux personnes en difficultés économiques. Tout ce soutien stratégique en matière de santé vient épauler et suppléer au manque de ressources du réseau hospitalier. « À ce titre, ces organismes méritent tout notre respect et une aide financière adéquate et garantie. »
Fait intéressant, de par leur charte, ils permettent à certains membres de leurs clientèles d'intégrer des plateaux de travail, favorisant de la sorte leur insertion sur le marché du travail, avec les avantages et les retombées positives pour eux que l'on imagine aisément.
En conclusion, le candidat du Parti Québécois dans Deux-Montagnes soutient que la population de Deux-Montagnes « mérite mieux que ce que le gouvernement libéral de Jean Charest lui a servi en santé ces quatre dernières années : que des promesses creuses non tenues et des miettes ! De vision, pas la moindre trace ! Et c'est ici que le Parti Québécois arrive avec un plan réaliste qui n'aura d'autre fin que de se réaliser !, au même titre que la souveraineté du Québec ! »