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Ce samedi 10 mars à
Alain Desjardins,
France Bouchard, Alberte Larouche, Jeannine Moreau,
Johanne Crépeau (G. Charbonneau) |
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C'est samedi , on vous demande si vous vous souvenez de Passe-partout...
Mais on vous raconte aussi une belle histoire de campagne électorale sans parti-pris. Long mais bon! |
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On continue à bronzer chez Solaris.
Il fallait se tourner de bord rapidement et Christine Dubuc l'a fait. Dans l'édition de vendredi, nous vous donnerons l'adresse, au centre-ville, où continueront, temporairement, les activités du salon de bronzage Solaris. Tous les dossiers et activateurs de bronzage ont été récupérés. On sait que l'incendie de samedi dernier, rue St-Georges, a provoqué de forts dégâts d'eau et de fumée dans la bâtisse qui abrite Solaris et qui appartient toujours à Yves Corbeil de Investissements Jérômiens. A cet effet, M. Corbeil, a confirmé que les travaux de rénovation de plus de 100,000 $ seront entrepris dès la semaine prochaine.
Suivi : Ce premier Solaris appartenait à Karole Beauchamp-Corbeil avant que Christine et Alain Gohier s'en portent acquéreurs. Il était logé au 2e étage du restaurant Fleur de Lys, maintenant le Vieux Shack et sur le site précisément du disco bar le Shick. |
C'était le jeudi 18 janvier 1996|
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« Il faut affronter la réalité avec une pointe d'humour ;
autrement, on passe à côté ».
 Lawrence Durrell, Poète et romancier anglais né à Jullundur en Inde le 27 février 1912 et décédé le 7 novembre 1990Il passe les onze premières années de sa vie en Inde avant d'être envoyé en Grande-Bretagne pour y poursuivre ses études. Haïssant le mode de vie britannique, il refuse de passer ses examens et se proclame écrivain : il publie son premier livre, 'Pied Piper of Lovers', en 1935. Il passe plusieurs années en Egypte, divorce, se remarie et revient en Grèce. Rhodes, Argentine, Cordoue, Belgrade, il voyage en tant qu'attaché de presse et diplomate avant de retrouver Chypre en 1952 et une atmosphère plus propice à l'écriture. |
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De CRSSS à RÉGIE à Agence en passant par CSSS
Il y a une vingt-cinquaine d'années, un peu plus même, on a eu droit aux CLSC (Centres locaux de Services sociaux) et au Conseil Régional de la Santé et des Services Sociaux qu'on appelait le CRSSS (prononcez CRESS). On démocratisait le Service social proprement dit.
Le CRESS est devenu la Régie de la Santé et des Services sociaux mais toujours à teneur régionale (les Laurentides). Il y a quelques années, on a rebaptisé les services du 1000 Labelle à St-Jérôme du nom de Agence régionale de la Santé et des Services sociaux. Dans le même souffle, on a fait «disparaître» les hôpitaux régionaux (tels Hôtel-Dieu, Ste-Agathe : des Sommets, Argenteuil, St-Eustache) pour les fondre dans des CSSS (Centre de Santé et Services Sociaux plus une dénomination géographique (St-Jérôme, Argenteuil). Cette nouvelle entité comprend aussi le CLSC local (par exemple Arthur-Buies à St-Jérôme)et les CHSLD (Centre Hospitalier de Soins Longue Durée) tels Youville, Manoir St-Jérôme qui relèvent directement de l'Agence régionale. On en exclut les CHSLD privés conventionnés tels Villa Soleil à St-Jérôme ou CHSLD Deux-Montagnes et les CHSLD privés autofinancés.
En somme les CSSS regroupent hôpital, CLSC et CHSLD. Un par MRC à peu près. Sauf que dans Thérèse-de Blainville et Mirabel, il n'y a pas d'hôpital. Et tout ça est chapeauté par l'Agence régionale de Santé et de Services sociaux.
Vous n'avez rien compris? Moi non plus. Je pensias qu'en essayant de l'expliquer, je comprendrais. Au fait, je comprends mais je en comprends pas que ce soit si compliqué !
Effectivement ce ne serait pas compliqué s'il y avait des noms plus simples.
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Demain, si vous êtres gentils, je vais essayer de vous montrer
des photos hors sujet.... Comme Amaya!
En attendant prenez donc un Ptit vin blanc à ma santé (clic) |
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 Allo ! Tu m'entends ?Le 10 mars 1876, l'Américain d'origine britannique Alexander Graham Bell appelle, de son grenier, à l'aide d'un appareil, son assistant situé au rez-de-chaussée de la maison. Le téléphone est né. Si la paternité de l'invention lui est contestée, non sans raison, il est bien le premier à utiliser le téléphone, à le perfectionner et à le commercialiser.
A l'heure anglaise
Le 10 mars 1911, la France adopte l'heure du méridien Greenwich déjà valable dans toute l'Europe occidentale. Si l'utilité des fuseaux horaires n'est pas contestée, la chose est vécue dans le pays comme une abdication face aux Britanniques. Ce n'est pas rien, en effet, d'imposer l'heure, la mesure du temps.
 Ce bon docteur PetiotLe 10 mars 1946, découverte chez le docteur Petiot à Paris d'un charnier. Le "bon" docteur promettait - moyennant finance - à des juifs pourchassés par le régime nazi de les faire sortir de France. En réalité, il les asphyxiait dans une pièce prévue à cet effet et récupérait la totalité de leurs avoirs. Il reconnaît 19 meurtres sur les 24 dont on l'accuse. En mai 1944, il est guillotiné. |
