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Les hasards de notre vie nous ressemblent.
Elsa Triolet Femme de lettres française d'origine russe née à Moscou

le 12 septembre 1896 et décédée à Saint Arnoult en Yvelines le 16 juin 1970

Etudiante en architecture, elle fréquente les milieux intellectuels russes. En 1920, un séjour exotique lui inspire son premier roman écrit en russe : 'A Tahiti'. Le 6 novembre 1928, elle rencontre Louis Aragon lors d'une manifestation à Paris. Elle devient alors sa compagne et son inspiratrice, notamment pour 'Les Yeux d'Elsa'. Elsa Triolet traduit la poésie du russe Maïakovski (son beau-frère) et les pièces d'Anton Tchekhov. Communiste convaincue, c'est dans cette perspective qu'elle traite des problèmes politiques et sociaux nés de l'après-guerre sous le couvert de plusieurs fictions. Après son décès, la totalité de ses lettres, manuscrits et documents personnels, est léguée au CNRS par Louis Aragon.

 

Non, le directeur général de la Corporation de Développement des Laurentides n'est pas en train de promouvoir une secte quelconque. Cette phrase fait partie de son allocution de clôture lors  du colloque Laurentides@Net présenté mercredi au Château de l'Aéroport. Les propos de la plénière, animée par madame Dominique Arnaud du Cégep et ceux de M. Ducharme annoncent la venue inexorable de l'Inforoute dans nos administrations, nos affaires et même nos héritages.

Ubiquité et communication

M. Ducharme parlait de ce que la cinquantaine de participants ont vu mercredi. On s'est rendu compte combien en l'espace de deux ou trois secondes, le temps pour  votre ordinateur d'établir le contact, on peut se retrouver à peu près n'importe où sur la planète et même ailleurs, aussi bien que dans le bureau voisin.  M. Eric Soucy, directeur régional de Culture et Communication signalait combien il est important que tous, hommes d'affaires, gestionnaires, politiciens, comprennent l'aspect social, économique de ces nouveautés, bien plus que la quincaillerie, le côté technique.

M. Michel Léger, directeur général de la Régie de la santé soulignait l'important apport économique de ces nouvelles technologies. “Elles permettent le développement socio-économique qui est le principal moteur de la santé collective d'une région, bien avant les médecins”.

Il semble y avoir consensus pour que ce premier colloque ait un suivi. On a demandé à la CDL d'assumer le leadership autour de cette volonté populaire. M. Ducharme compte bien inciter son organisme à s'impliquer mais il faudra des appuis. Des réponses positives spontanées ont jailli.  Celle de la Régie de la Santé, du Cégep Saint-Jérôme par le biais de M. Paul Bourbeau, de l'industrie tou-istique  par la voix de M. André Gohier, du Conseil de la Culture par Mme Diane Ouellette. M. Michel Lesage agent de développement de la CDL assume d'ailleurs les premières prises de contact (436-3111)  Fax: 436-7477.D'ailleurs le représentant de Hiérapolis (Outaouais) a démontré clairement que les services offerts et les méthodes de travail vont changer et rapidement.