Pauline Marois dans la région

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TOURNÉE DE PAULINE MAROIS DANS
LA RÉGION DES BASSES-LAURENTIDES
Première rangée : Maurice Dumas (secrétaire régional), Lucie Papineau (présidente de Prévost), Pauline Marois (chef du Parti Québécois) Deuxième rangée : René Gauvreau (président de Groulx), John Saywell (exécutif régional), Alexandre Beaudet (représentant des jeunes des Laurentides), Henri L'Africain (président d'Argenteuil), Éric de la Sablonnière (président des Laurentides), Benoit Charette (président de Deux-Montagnes) et Gaétan Asselin (président de Mirabel).

De passage dans la région des Basses-Laurentides hier, la chef du Parti Québécois et députée de Charlevoix, Pauline Marois, s'est dite très heureuse de sa tournée.
« L'accueil que j'ai reçu a été remarquable, les rencontres ont été des plus enrichissantes et permettront d'alimenter ma réflexion en vue de la prochaine plateforme électorale », a mentionné Mme Marois.
 
En matinée, Mme Marois a rencontré les dirigeants du Centre de la petite enfance « Funambule ». Elle a par la suite échangé avec les gens du conseil d’administration de la Chambre de commerce de Saint-Jérôme, pour ensuite s’adresser à ses membres qui s’étaient déplacés nombreux pour entendre un discours à saveur économique.
En soirée, Mme Marois a été accueillie par plus de 175 militants dans le cadre d’un coquetel de financement de la circonscription de Deux-Montagnes.
« Lors de mon retour à titre de chef du Parti Québécois, j’avais clairement insisté sur le besoin que nous avions de reconquérir le cœur des Québécois. Et bien, je joins le geste à la parole et d’ici la rentrée parlementaire j’entends bien avoir fait le tour des régions du Québec », a déclaré la députée de Charlevoix.
 
Mme Marois a pu constater l’enthousiasme des gens des Basses-Laurentides et elle est convaincue de la capacité du Parti Québécois de reconquérir la région lors du prochain scrutin électoral.
« Ce que je vois et ce que j’entends sur le terrain, c’est que les députés de l’Action démocratique du Québec ne sont nullement présents et ne s’occupent peu ou pas des intérêts de leurs concitoyens », a conclu Mme Marois.