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Le jeudi 2 novembre à Conrad Clavel qui fut un éminent commerçant de meubles de Saint-Jérôme et qui jouit d'une retraite toujours axée sur le sport, Raymond Barbeau, Gilles Varin de Repentigny. le gars qui a peut-être «inventé» le lobby politique, Rostand Beauséjour qui devient octogénaire mais qui demeure toujours vert et plein «d'assurance» et Marguerite Durocher.
NDLR: Vous pouvez nous faire parvenir les dates anniversaires de vos proches (une semaine à l'avance) mais assurez-vous qu'on puisse vous rejoindre, histoire de ne pas publier n'importe quelle facétie. |
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Si on commençait par s'annoncer soi-même. Eh oui, la 15Nord se targue d'être le «Journal virtuel» des Laurentides. Disons qu'il n'a de journal que la publication de communiqués (comme bien d'autres en papier d'ailleurs) et qu'il aura tantôt des annonceurs.
Entre temps, qu'on vous dise (et répétez-le à satiété), on a en haut à droite de la «Une» un vrai moteur de recherches. On a en bas à gauche de la «Une» un sondage. Pour le moment, il parle du train à venir mais habituez-vous à y donner une première opinion. Ça va nous servir. Un peu plus bas, il y a les archives. C'est la que vous pouvez consul-tez les textes publiés antérieure-ment. On a besoin de votre adresse mais ça ne coûte rien.
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Le mardi 26 avril 1994
Le maire Plouffe a fait son choix
Très belle réception ce lundi après-midi à l'Hôtel de Ville de Saint-Antoine. La salle mise bien en train par le volubile et très stimulant M.C. Robert Huot, souscrivait aux propos optimistes du maire Normand Plouffe. La cinquantaine d'invités revenaient du lancement officiel du projet «La Clé des Chants» par les promoteurs Jean-Guy et Robert Décarie et le responsable du projet Mario Leclair de Équipe 4 Saisons. On parle pour cet été d'un minimum de 40 maisons sur un total de 200 d'ici 2 ans. On aura alors hypothéqué 2 des 7 millions de pieds carrés disponibles sur ce site èa l'est de la 36e avenue
Et le maire Normand Plouffe, après son allocution, visiblement heureux de la présence d'un si beau groupe d'affaires, me confirmait qu'il serait de retour pour une 3e mandat comme maire
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Centraide Laurentides est à la recherche d'administrateurs bénévoles
Centraide Laurentides souhaite recruter des hommes et des femmes de cur, administrateurs chevronnés, pour combler des postes au sein de son conseil d'administration. Cette invitation s'inscrit dans le cadre des objectifs du plan stratégique 2006-2009 de Centraide Laurentides.
Description du mandat :
Poste d'administrateur, bénévole. Une réunion par mois, d'une durée approximative de trois heures, à l'extérieur des heures ouvrables. Différents comités de travail, qu'ils soient ponctuels ou plus réguliers, sont également proposés, selon la disponibilité et l'intérêt des membres qui les composent. Le conseil d'administration est l'instance décisionnelle de l'organisation et il met en place toutes les politiques et procédures requises pour en assurer la saine gouvernance.
Surveillez le texte complet dans nos pages d'information demain
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Du grand Gingras
Retraité de situation, ingénieur de profession, Optimiste par obligation, Pierre Gingras de Prévost, prête souvent flanc à de multiples qualificatifs, pas toujours glorieux. On ne peut toutefois lui reprocher d'avoir la langue de bois. Ni de manquer d'imagination au point de contredire carrément l'écrivain Oscar Wilde qui nous affirme que :
Si l'homme des cavernes avait su rire,
le cours de l'histoire eut été changé.
Qu'il veut interpréter par ceci :
"Il est inconcevable que six millions d'années d'efforts aient été requis juste pour faire un homme des tavernes avec l'homme des cavernes".
Sauf que d'aucuns lui feront remarquer que la «taverne» telle que connue dans notre pays du KKKébec, n'existe plus.
Où sont donc ces hommes rendus mon cher Pierre? |
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« Si l'homme des cavernes avait su rire,
le cours de l'histoire eut été changé.»
Oscar Wilde, écrivain irlandais, né à Dublin le 16 octobre 1854 et décédé à Paris le 30 novembre 1900.
Suite à une rencontre avec un porte-parole du mouvement esthète, il adhère à ce courant artistique qui prône la recher-che du 'beau', sans préoccupation morale ou sociale. Rédac-teur en chef du magazine 'The woman's world', il défend le féminisme. À Londres, il choque la société mondaine par ses extravagances, son cynisme. Mais c'est son roman, 'Le por-trait de Dorian Gray', qui lui assure le succès. À l'heure où l'homosexualité est punie par la loi, la relation passionnée qu'il entretient avec Lord Alfred Douglas le conduit à purger deux années de travaux forcés |