La vice-présidente d'une Association psychiatrique nationale admet que
les antidépresseurs peuvent empirer la dépression
les antidépresseurs peuvent empirer la dépression
Les antidépresseurs font l'objet de surveillances internationales encore plus minutieuses depuis que la FDA (Agence américaine de contrôle des aliments et médicaments) a émis des mises en garde à l'effet que ces médicaments pouvaient causer des pensées et des comportements suicidaires.
Il y a quelques jours, la vice-présidente de l'Association psychiatrique suédoise a admis à la télévision suédoise qu'une énorme quantité de gens empiraient suite à leur prise d'antidépresseurs. Le Dr. Christina Spjut, une des plus grandes autorités psychiatriques de Suède, a dit que plusieurs personnes prennent des antidépresseurs durant des années alors que les médicaments peuvent faire en sorte que leur dépression continue. Ces déclarations ont été faites lors d'une émission de télévision nationale au sujet des effets négatifs des antidépresseurs. Le Dr. Spjut a également ajouté qu'il y avait un manque considérable de connaissance au sujet de leurs effets secondaires.
En utilisation depuis les années '80, les effets secondaires des antidépresseurs ont été cachés avec succès auprès du public par des groupes d'intérêt de la psychiatrie et de l'industrie pharmaceutique jusqu'à ce qu'au cours des dernières années, des études et des mises en garde commencent à être publiées montrant les dangers sérieux des médicaments psychiatriques. La FDA a maintenant reconnu que ces médicaments psychiatriques grandement prescrits pouvaient causer le suicide, les idées suicidaires, la manie, des psychoses, des attaques cardiaques et des morts subites. La FDA va finalement tenir une audience publique sur le lien entre le suicide chez les adultes et l'utilisation d'antidépresseurs le 13 décembre prochain, près de 15 ans après qu'elle ait entendu des témoignages d'innombrables familles et de médecins à ce sujet, dès 1991. Bien que la FDA ait émis des mises en garde sévères relativement au lien entre le suicide et l'utilisation d'antidépresseurs chez les enfants et les adolescents, elle a refusé jusqu'à ce jour d'aborder les risques qu'ils posaient pour la population adulte.
En utilisation depuis les années '80, les effets secondaires des antidépresseurs ont été cachés avec succès auprès du public par des groupes d'intérêt de la psychiatrie et de l'industrie pharmaceutique jusqu'à ce qu'au cours des dernières années, des études et des mises en garde commencent à être publiées montrant les dangers sérieux des médicaments psychiatriques. La FDA a maintenant reconnu que ces médicaments psychiatriques grandement prescrits pouvaient causer le suicide, les idées suicidaires, la manie, des psychoses, des attaques cardiaques et des morts subites. La FDA va finalement tenir une audience publique sur le lien entre le suicide chez les adultes et l'utilisation d'antidépresseurs le 13 décembre prochain, près de 15 ans après qu'elle ait entendu des témoignages d'innombrables familles et de médecins à ce sujet, dès 1991. Bien que la FDA ait émis des mises en garde sévères relativement au lien entre le suicide et l'utilisation d'antidépresseurs chez les enfants et les adolescents, elle a refusé jusqu'à ce jour d'aborder les risques qu'ils posaient pour la population adulte.
Selon M. Denis Côté de la Commission des citoyens pour les droits de l'homme, "le droit au consentement 'éclairé' est fréquemment bafoué au Québec en ce qui a trait aux traitements psychiatriques. On fait croire aux adultes et aux enfants qu'ils ont un dysfonctionnement dans leur cerveau, alors qu'il n'existe pas la moindre preuve médicale digne de ce nom à ce sujet, dans le but de leur prescrire des médicaments dont on cache les effets secondaires dangereux et qui provoquent l'accoutumance."
Pour en savoir plus sur les dangers des médicaments psychiatriques, lisez le Rapport sur la multiplication des mises en garde internationales sur les médicaments psychiatriques, publié par la Commission des citoyens pour les droits de lhomme (CCDH), un organisme de surveillance des violations des droits humains commises dans le domaine de la santé mentale.
Pour en savoir plus sur les dangers des médicaments psychiatriques, lisez le Rapport sur la multiplication des mises en garde internationales sur les médicaments psychiatriques, publié par la Commission des citoyens pour les droits de lhomme (CCDH), un organisme de surveillance des violations des droits humains commises dans le domaine de la santé mentale.
La CCDH a été fondée en 1969 par lÉglise de Scientologie et par le Dr. Thomas Szasz professeur émérite de psychiatrie et auteur de réputation internationale.