Le vendredi 1 décembre

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Ce vendredi 1 décembre à
Marc et Martin Kavanagh (1972), Madeleine Rochon,
Lise Brunet (Bernard),
Normand St-Vincent,
Angèle Marineau des Optimistes,
et Josée Brissette 1970
 
Il y a en quelque part une planète appelée Terre.
On y voit des nuages, du feu, de l'électricité de différentes sortes.
Mais aussi une vie animale fort expressive.

VIH : portrait d'une épidémie silencieuse…  
Le premier décembre est traditionnellement une date symbolique dans la lutte contre le sida, qui permet chaque année de rappeler la réalité alarmante de cette épidémie dans le monde et ses conséquences dramatiques au plan familial, social et économique. 
La Journée mondiale sida donne l'occasion de se rappeler que, après 25 ans de lutte, le VIH/sida demeure toujours une préoccupation importante et touche environ 40 millions de personnes dans le monde.
L'Agence de Santé et Services Sociaux Laurentides livre un texte éloquent (cliquez ici)

« Personne n'est plus redoutable
 que celui qui n'a jamais de doutes ».
Jacques Sternberg Journaliste et cinéaste belge  Né à Anvers en 1923
Elève médiocre, en français surtout,  il commence à écrire à l'âge de quinze ou seize ans. Il est l'auteur de plusieurs romans et d'innombrables nouvelles touchant de près ou de loin à la SF et au fantastique (bien qu'il s'en défende plus ou moins).
Il a également écrit le scénario du film Je l'aime, je t'aime d'Alain Resnais.
Normand Plouffe lorgne vers Prévost   lundi 5 février 1996
En mars, le maire de Saint-Antoine prendra quelques jours de vacances. On connaît son attachement aux valeurs familiales. Ce sera alors la grande demande auprès de son épouse: “Es-tu d'accord, Nicole, pour que je me lance en politique provinciale?”
Le leitmotiv de Normand Plouffe, autant dans sa vie privée que publique c'est le “respect mutuel”. “Un journaliste, un ministre, un citoyen qui me  manque de respect ne doit pas s'attendre à ce que je lui fasse des courbettes”.
Dans la conjoncture politique actuelle, M. Plouffe est bien conscient des enjeux. Lors du remaniement ministériel à Québec, il a bien déclaré à l'endroit de M. Daniel Paillé: “Je ne frappe pas sur un gars à terre”.  Mais il n'a pas dit: “M. Paillé a gagné ses galons.  Au contraire, précise-t-il, depuis qu'il est en poste, il n'a même pas mis les pieds à Saint-Antoine si ce n'est pour venir me dire quoi faire. Dans plusieurs dossiers comme celui du “trou de beigne”, il s'est comporté en vrai cowboy de la politique”. M. Plouffe s'attendait la semaine dernière à ce que le député de Prévost complète son mandat à Québec. A l'instar de plusieurs observateurs, il en doute maintenant. D'autant plus que M. Paillé ne se serait même pas présenté au caucus des députés péquistes mardi dernier.
Normand Plouffe a cinquante ans. Il possède déjà une belle expérience de 4 ans comme conseiller et 10 ans comme maire de Saint-Antoine. Il fait partie d'un tas d'organismes provinciaux en plus de présider la CIT locale et la Régie de Police. Il avoue que plusieurs instances régionales, dont certains péquistes reconnus, lui ont donné des idées depuis une semaine.
 
Suivi: M. Plouffe après avoir perdu la paritelle de Prévost contre madame Lucie Papineau en 1997, il s'est retiré de la campagne provinciale suivante pour des raisons de santé.  Il avait ensuite manifesté des velléités pour la mairie de St-Jérôme en 2003 mais encore là, il a déclaré forfait.