Je parie souvent avec madame Bou que, lorsque j'écris un article sur certains sujets qui ne font pas partis de l’actualité, je vais automatiquement nourrir certains médias des Laurentides.
Je ne suis pas offusqué mais plutôt flatté d’alimenter certains journalistes qui en manque d’imagination recherchent des informations qui ne parviennent pas des communiqués. Je sais bien que l'actualité que je soulève n'est pas exclusive et je serais prétentieux de vouloir faire de ma nouvelle une chasse gardée.
Par contre, notez que j’applique le code d’éthique de la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec dont je suis membre, en me faisant un devoir lorsqu’un sujet me plaît d’aviser en demandant la permission au journaliste d’utiliser son article ou ses sources avant de l’éditer dans le journal.
Je sais aussi que j’inspire certains médias dans la publication de mes mises en page, surtout celui qui se félicite de n’utiliser que des Macs… il se reconnaitra!
Mon talon d’Achille est que je suis présentement le seul artisan qui alimente la Quinze Nord en informations depuis 3 ans suite au départ de mon associé, je dois subir les caprices de mon service internet (basse vitesse) et je ne peux vraiment pas couvrir toutes les conférences de presse (13 invitations cette semaine).
Ma solution pour la survie du journal est la complicité d’un partenaire en publicité pour effectuer des levées de fond soit comme contractuel ou sous forme d’association.
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