Le mercredi 3 janvier

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Cette version de La15Nord.com en est à son 2e mois complet de parution.  La période des Fêtes nous inquiétait un brin à cause du manque de nouvelles. Votre réponse nous emballe. Un nombre de visiteurs 3 et 4 fois plus important que nos prévisions. 
 
Parmi les raisons certaines, il y a le fait que la population des Laurentides a un besoin certain d'un véhicule qui va parler des affaires d'ici. Il y a aussi l'apport des Diane Piché, Claude D'Orval, Pierre Beaudry, Michel Asselin, Pierre Gingras en particulier,  qui nous alimentent régulièrement en diaporamas de qualité, en petites histoires. 
 
De ce qui fait, en somme, la base de la Pause-Café.  Un gros merci.
 
Il y a aussi plusieurs correspondants qui y trouvent peut-être leur profit mais qui nous permettent d'alimenter les lecteurs avides de connaître.  Ajoutons les services de qualité offerts par La15Nord.  Par exemple, les Utilitaires et l'Agenda qui connaissent déjà une belle fréquentation et qui seront appelés bientôt à nourrir des concours-maison.
 
Ajoutons tout de suite, que dès la semaine prochaine, le nombre de visiteurs le justifiant, on devrait ressortir périodiquement la vieille plume de journaliste.  Bien que certain petit maire de paroisse ait déjà clamé du haut de sa chaire qu'il ne me reconnaissait pas comme journaliste, on vous laissera évaluer. 
 
On parlera de taxes municipales, évidemment, de la cigarette bannie de nos foyers, de la Butte à Mathieu, peut-être du train, des accommodements déraisonnables, de la presse «à pression» …
 
Bon retour au boulot et faites-vous connaître.
 
Ce mercredi 3 janvier à 
Roger Trudeau (Roulottes Unik jadis) Claude Trudel (dg. Du club de golf Le Versant),
Gontran Latour Assurances,
Daniel Pagé et
Lise Tremblay de Saint-Sauveur.
 
Un petit goût de voyages? Destination St Martin dans les Antilles.
Évidemment les textes (et les fautes) ne sont pas de nous. Mais les images sont impressionnantes.
On clique ici ou en haut
 
  le vendredi 2 juin 1995
Ce qu'on a qualifié d'enveloppe de patronage    
Dans le cadre d'une rencontre avec la presse locale, lundi dernier, le député-ministre de Prévost présentait sa stratégie d'utilisation du Programme “d'aide à l'action bénévole” pour son comté. 
 
 Cette enveloppe dont jouissent les députés est représentative de la population. M. Paillé détient donc le même genre d'enveloppe que son prédécesseur libéral, M. Forget. Or M. Paillé a bien voulu préciser la répartition des 94,430 $ de la façon suivante: 40% pour le support au montage d'événements majeurs pour la promotion du comté de Prévost, 40% aux organismes communautaires et 20% aux organismes non-communautaires.
 
Le programme a déjà permis d'aider plusieurs initiatives locales et ce, dans plusieurs activités. On parle d'un camp de jour pour enfants handicapés, d'une cuisine collective pour les gens du troisième âge, du Festival d'été de la Rivière-du-Nord, d'un café-rencontre pour S.A.V.I.E., de l'enquête sur la santé des Jérômiens  pour n'en nommer que quelques uns. 
 
Les projets retenus ont un effet structurant sur le développement de l'action bénévole.
 
Toutefois, lors de la rencontre de presse, M. Paillé précisait que les pourcentages de répartition n'étaient effectivement que des chiffres. “Au fur et à mesure qu'on avance dans ces dossiers, on découvre qu'il y a beaucoup de besoins, énormément de besoins dans notre comté. Au point que je n'ai plus aucune idée de ce que sera la répartition  finale de ces argents. Chose certaine, les besoins sont très grands”.
 
Suivi:  Ce genre de Petites Caisses, qu'on appelle «enveloppe discrétionnaire» existe encore aussi bien au fédéral qu'au provincial.  Si Daniel Paillé avait jugé bon d'en parler, c'est qu'à l'époque aussi on se gaussait des gestes des députés. Un brin de jalousie ou de mesquinnerie là-dedans? Il ne faut pas confondre des montants d'à peine quelques milliers de dollars confiés au responsable élu d'une circonscription et les Impôts levés par un gouvernement. 
Pour rire allez-voir un peu plus loin ce qui se passait il y a plus de 600 ans....
 
« Dans un voyage, le plus long est d'arriver à la porte ».
Varron  (Marcus Terentius Varro), écrivain et savant romain, 116 - 27 av. J.-C.
Dans un premier temps, lieutenant dans les guerres civiles romaines et partisan de Pompée contre Jules César en 49 av. J.-C., il parvint au rang de préteur. Ayant obtenu le pardon de César, il se rallie à lui et devient responsable de l'organisation des premières bibliothèques publiques de Rome. Après la mort de César, Octavien doit le racheter puisque Marc Antoine l'avait déclaré hors-la-loi. Il abandonne alors totalement la carrière militaire pour se consacrer au savoir et à l'écriture.
Il est l'auteur de près de 600 volumes, mais seuls une cinquantaine nous sont parvenus.
 
Un emploi pour les filles?
On trouve tout drôle aujourd'hui de rencontrer aujourd'hui autant d'hommes que de femmes comme agents de bords dans les avions.
On les appelait hôtesses de l'air (avec tout un paquets de jeux de mots dont le plus respectueux parlait de « waitress » ou «serveuses»). 
Saviez-vous qu'àal'origine, c'était effectivement un emploi pour hommes? Ce n'est qu'en 1946, un 3 janvier précisément, que la compagnie aérienne belge Sabéna recrute la première hôtesse de l'air. Jusque-là seuls les hommes étaient considérés comme suffisamment robustes pour supporter la répétition des envols et des atterrissages.
Les petites filles se mirent alors à rêver et les hommes à voyager. 
 
Les impôts provoquent une révolte au XIVe siècle
Charles VI de Valois arrive au pouvoir en 1380 à l'âge de 12 ans. Louis d'Anjou, Jean de Berry, Louis de Bourbon et Philippe de Bourgogne, oncles du jeune roi, assurent la régence et en profitent pour s'enrichir en augmentant les impôts.
Le 3 janvier 1383, les Parisiens se révoltent dans la rue et s'arment de maillets de plomb (d'où leur surnom de «Maillotins»). Cette véritable «révolte fiscale» débouche sur la loi martiale et incite Charles VI à reprendre les choses en mains.