«Pourquoi Marc Gascon enlève le droit de parole à son candidat?» Andrew Hattem, chef de Vision Saint-Jérôme
J’avoue avoir été renversé en lisant l’Écho du Nord du mercredi 2 mars 2011. Dans l’article publié en page 7, il est écrit : «Le journal n’a pas été en mesure de parler à Évérard Ouellette, en dépit de plusieurs appels. Un porte-parole du parti a pour sa part indiqué que les questions devraient plutôt s’adresser au chef Marc Gascon…» Je ne peux pas croire que Marc Gascon demande aux citoyens du quartier Parent de voter pour un candidat qui se fait déjà museler alors qu’il est seulement en campagne électorale.
Pourquoi Marc Gascon enlève le droit de parole à son candidat? Qu’est-ce que ça sera une fois autour de la table du conseil municipal? À voir les conseillers se taire depuis son arrivée dans la chaise du maire, depuis plus de 15 ans, on comprend qu’il choisi davantage ses candidats en fonction de leur écoute que de leur parole. Cette situation est contraire à celle de Vision Saint-Jérôme. Depuis le début de cette campagne, Alain Langlois répond à son téléphone. Que ce soit un journaliste ou un citoyen, Alain Langlois est au bout du fil.
Porte-à-porte prise 2
D’ailleurs, je profite de l’occasion pour préciser qu’Alain Langlois et son équipe ont déjà cogné à toutes les portes du quartier Parent. Depuis le milieu de la semaine, Alain a choisi d’entamer une deuxième tournée, histoire de rencontrer les citoyens absents lors de sa première visite.
Alain Langlois est un travailleur infatigable et tenace. Il a été un élément clé dans la mise sur pied de Vision Saint-Jérôme. C’est pourquoi je demande à la population du quartier Parent de lui accorder leur appui le 13 mars prochain.
En élisant un premier membre de Vision Saint-Jérôme, les citoyens vont envoyer un message clair à l’administration Gascon. Ils vont surtout élire un homme qui aura le droit de parler en leur nom autour d’une table du conseil qui favorise davantage les monologues que les dialogues.