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« Nous devons dormir pour donner assez de place au rêve ».
Erik Orsenna écrivain et académicien français né à Paris le 22 mars 1947.
 Après des études de philosophie et de sciences politiques, Erik Arnoult, dit Orsenna, enseigne l'économie à l'Ecole normale supérieure. Il entame par la suite des activités administratives et devient conseiller ministériel puis conseiller culturel auprès du président François Mitterrand de 1981 à 1984, expérience relatée dans « Grand amour » en 1993. En décembre 1985, il entre au Conseil d'Etat et exerce les fonctions de maître des requêtes. Parallèlement à ses activités, il est l'auteur de sept romans et obtient le prix Roger Nimier en 1978 pour « La vie comme Lausanne » ainsi que le prix Goncourt 1988 pour « L'exposition coloniale ». Pour en savoir plus |
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Il faut plus que le nom
En l'an 27 avant Jésus-Christ, le Sénat romain décerne à Octave, petit-neveu et fils adoptif de Jules César, le surnom d'Augustus (Auguste en français), normalement réservé aux divinités. Ce titre honorifique, qui qualifie celui qui agit sous de bons auspices, le récompense d'avoir restauré les formes de la République sénatoriale et pacifié le pays en mettant fin aux guerres civiles régnant farouchement depuis un siècle.
La coupe Davis a 107 ans.
 Le 16 janvier 1900, Dwight David lance la compétition de la coupe Davis, épreuve de tennis par équipes nationales. Les rencontres se déroulent sur trois jours au cours desquels quatre simples sont entrecoupés d'un double et opposent les représentants de différents pays. Aujourd'hui, la coupe Davis est l'emblème de la suprématie mondiale du tennis pour les équipes nationales masculines. Pantoufles et conflit d'intérêt = pot de vin?
Un projet réglementant le "pantouflage" en France est approuvé le 16 janvier 1991 par le conseil des ministres. Le "pantouflage" est la pratique qui consiste pour un fonctionnaire à passer dans le privé. Désormais, celui-ci est interdit à ceux ayant entretenu un "certain type de relations" avec l'entreprise d'accueil au cours des cinq années précédentes et lorsqu'il y a incompatibilité entre les anciennes fonctions et la nouvelle activité. |
 le mardi 16 janvier 1996 |
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Un plan triennal de 54 M $
Le maire de Saint-Jérôme, M. Marc Gascon, proposait hier soir un ajournement à l'assemblée régulière sur le coup de 20 heures. On passait en assemblée spéciale pour l'adoption du plan triennal qui sera évidemment adopté malgré une remarque du conseiller indépendant Ronald Piché, à l'effet, qu'une fois de plus, les 4 indépendants n'ont pas été consultés.
L'essentiel de ces 54 M$ porte sur l'assainissement des eaux (15.5M$), 11 M$ pour l'usine de filtration et 4.3 M$ pour 5 projets au Centre-Ville dont la construction de l'amphithéâtre à l'extrémité de la rue Parent (600,000 $) pour l'été 96, le début d'enfouissement des fils dont les plans et devis seront préparés par la firme Audy, Farley, Lalande, Laberge, la vieille gare, les stationnements et l'amélioration de Legault et St-Georges.
SUIVI: Faut dire que tout ça a été fait. Globalement les eaux usées auront coûté 68 M$ et l'amphithéâtre Lucien-Rolland, au moins 1,2 M$. La rue Legault est devenue la rue de La Gare. |