Le vendredi 26 janvier

Jeudi, 25 Janvier 2007 Pause Café - Pause Café
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Raciste? Je ne sais pas trop
J'ai résisté à inscrire mon grain de sel dans la tourmente médiatique des « un peu, pas beaucoup, un peu plus ou un peu moins raciste…»  En somme j'avais le goût de vous écrire : «Je suis intolérant».  Mais, ce jeudi matin, en feuilletant le Journal de Montréal, j'ai eu une réaction pas mal nette.  J'ai bien écrit « réaction »?  Oui c'est ça.  Et vous, dites-moi franchement quelle a été la vôtre? Votre réaction spontanée, sincère, dans le fond de vos trippes à vous?  Allez, allez, dites-le quelle à été votre réaction quand vous avez vu dans quasiment 2 pages de suite, les photos du « Gang de la rue Pelletier »  qu'on a reconnus coupables et puis celle de la petite madame qui roulait à 170 Km/h sur la 15 et qui a tué un ex-prof de St-Jérôme, lorsque poursuivie par les policiers. 
Ça été quoi votre vraie réaction intime?
 
Ce vendredi 26 janvier à
Alain Goyer (1959)  Solaris Voyage, Solaris Bronzage, Solaris Coiffure etc… tout ça rue de la Gare à St-Jérôme Maurice Blondin (1944 ) toujours un peu M. Belvédère Nissan,
 Jacqueline Bigras et
 Roger Fugère (Pièces d'Autos lecavalier et aussi beaucoup Centraide Laurentides
« A la sécurité sociale, tout est assuré. Sauf la pendule. Ça, on ne risque pas de la voler, le personnel a les yeux constamment fixés dessus ».
Coluche qui a dit aussi:
« Quand on s'endort avec le cul qui gratte, on se réveille avec les doigts qui puent ».
 
Demain on sera un peu plus sérieux...
- Papa ? Dis-moi comment je suis né.
- Très bien, mon fils, il fallait bien que l'on en parle un jour ! Papa et maman se sont copiés/collés dans un Chat sur MSN.
Papa a fixé un rancard via e-mail à maman et se sont retrouvés dans les toilettes d'un cybercafé.
Après, maman a fait quelques downloads du memory stick de papa. Lorsque papa fut prêt pour l'upload, nous avons découvert que nous n'avions pas mis de firewall. Comme il était trop tard pour faire delete, neuf mois plus tard le satané virus apparaissait...

 
Les 20 et 21 janvier, Julie Hubert et  propriétaires  des Vergers Lafrance accueillaient le grand public à leur domaine de Saint-Joseph-du-Lac.  On venait, en cette période hivernale, y cueillir des pommes gelées comme on cueille les pommes mures en automne. Intrigués par la méthode de fabrication du cidre de glace, les gens de La15Nord.com  sont allés les rencontrer pour vous présenter ces images toute neuves d'une étape de la fabrication du cidre de glace. À voir dans nos pages
Éric Lafrance   

« Un coeur qui bat c'est une âme qui respire ».

Laurent Sagalovitsch écrivain français né à Montreuil en 1967

 
Fils d'une mère professeur de lettre classiques, il réalise selon ses propres termes des études médiocres, après lesquelles il mène une dure vie de pigiste pour «Libération», «Globe», «L'Événement» et «Les Inrock». Il passe trois ans à Vancouver. A 18 ans, il écrit son premier roman, et publie son deuxième en 1996, «Dade City», polar récompensé par le Prix de la Fondation Hachette.
Peuplement forcé
En 1788,  le capitaine Phillips débarque sa cargaison à Port Jackson, en Australie. Elle est constituée de 717 forçats, destinés à peupler la grande île. D'autres les rejoindront bientôt. Pour une terre rude, il faut des hommes rudes. C'est en tout cas la solution que le gouvernement britannique a trouvée pour faire de cette possession une colonie de peuplement. A l'emplacement de leur débarquement s'étend aujourd'hui la ville de Sydney. Le pari semble gagné.
 
Machisme médical
Les étudiants en médecine manifestent contre l'admission des femmes à l'internat, décidée le 2 février 1885 par le conseil municipal de Paris. Joyeuse solidarité des sexes.
 
Matraquage sonore
Sur Antenne 2, le volume sonore des spots publicitaires se situe 7 décibels au-dessus de celui des autres émissions. Les téléspectateurs s'en plaignent. Une enquête réalisée en 1983, par Télé 7 jours prouve qu'il s'agit bien d'une pratique volontaire, d'un matraquage publicitaire par le son.
 
Restos du coeur
En 1986, avec quatre heures de show télévisé non-stop sur TF1, Coluche, l'homme à la salopette, assure le fonctionnement des Restaurants du coeur en récoltant deux milliards de centimes. Pas besoin d'être élu pour agir ! En créant cette soupe populaire nouvelle formule, c'est bien ce qu'a compris et démontré le comique.