Le jeudi 15 février :
Marco Calliari : du métal à la musique du monde
Le vendredi 16 février :
Dumas : plus subtil et inspiré que jamais
Le samedi 17 février
Les merveilleux contes de Fred Pellerin !
(à guichet fermé)
Le jeudi 15 février :
Marco Calliari : du métal à la musique du monde
Le vendredi 16 février :
Dumas : plus subtil et inspiré que jamais
Le samedi 17 février
Les merveilleux contes de Fred Pellerin !
(à guichet fermé)
Le Québécois dorigine italienne Marco Calliari occupe une place sans cesse grandissante sur la scène musicale canadienne. En Scène le reçoit en supplémentaire le 15 février prochain à 20h à la salle Germaine-Guèvremont de Saint-Jérôme.
Fort dune quinzaine dannées de carrière avec le groupe métal Anonymus, il nous a fait récemment découvrir un nouvel aspect de son talent et de sa musicalité. En effet, il faisait paraître lan dernier Che la vita, un album de chansons italiennes inspirées du folklore et dinfluences diverses, du jazz au world beat.
Depuis ce lancement, Marco Calliari connaît un énorme succès et se produit régulièrement sur scène accompagné de ses excellents musiciens. Son talent a dailleurs été reconnu par le prix Galaxie remis par Radio-Canada au festival des musiques émergentes en Abitibi-Témiscamingue. Bref, un spectacle à ne manquer et qui devrait en charmer plus dun!
Très à l'aise sur la scène, visiblement, ses nombreuses années passées à jouer au chanteur « heavy metal » ont porté fruit, Marco Calliari a suffisamment d'énergie pour déplacer des montagnes. Nul doute qu'il parviendra sans mal à faire bouger les amateurs de musique qui se déplaceront le 8 décembre prochain.
Ceux qui voudraient découvrir la musique de Marco Calliari en attendant son concert peuvent se rendre à la section multimédia de son site Internet, au www.marcocalliari.com pour écouter quelques pièces et consulter la multitude de renseignements qui s'y trouvent.
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Ce nest plus un secret pour personne : Dumas est confirmé comme lune des nouvelles figures les plus estimées de lunivers musical québécois. Pour notre plus grand plaisir, il foulera les planches de la salle Germaine-Guèvremont le 16 février prochain à 20h.
Il s'est fait connaître, il y a quelques années, grâce à un premier album honnête et prometteur au titre éponyme. Quelques hits y figurent (Miss Ecstasy, Junkie, Espresso, L'Écrivaine) et lui permettent de monter sur les planches de grandes salles montréalaises. Désinvolte, sympathique, accessible, très gentil, il s'entoure de fans inconditionnels rapidement. Pop électro planante, envolées lyriques et musicales, il fait sa marque dans l'industrie musicale québécoise, jouant de plus en plus ici et en Europe, lors, entre autres, des Francos de Spa, en Belgique. Il pose enfin le pied dans le pays de la Gloire grâce à la trame sonore du film Les Aimants, de Yves P. Pelletier. Il va donc sans dire, après une tournée triomphale et un disque enfin consacré, que son troisième album était attendu de pied ferme et avec beaucoup d'impatience. Novembre 2006, l'attente est enfin terminée : Dumas suggère de Fixer le temps par des arrêts sur images sonores d'endroits de grande activité (aéroport, gare, taxi, train
).
D'une pop plus rock que le précédent CD, aux guitares plus prononcées, des hooks hallucinants, Fixer le temps s'attarde et file tout en même temps : sans être semblables, les chansons forment un tout homogène et planant, un atmosphère de liberté, de mélodies savoureuses. Le premier «single», Au gré des saisons, sera un succès instantané en spectacle : on entend d'emblée la foule entonner le tôt ou tard du refrain. Le cerveau accroche terriblement facilement sur les mélodies de Nébuleuse, Fixer le temps, La ville s'éveille, Poste restante
Totalement séduisant, Fixer le temps est le genre de disques dont il est difficile d'appuyer sur la touche Stop lors d'une des chansons. On navigue sur les mots et la voix particulière douce-heureuse de Dumas, on se noie dans la musique inspirée et inspirante, et on fixe le temps pour recommencer l'expérience encore et encore
Imaginez alors en spectacle
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Les histoires de Fred Pellerin sont celles de son village : Saint-Elie de Caxton, petit village québécois. Anecdotes, potins, rumeurs passent à la moulinette de Fred Pellerin pour en ressortir sous forme de contes dans lesquels la frontière entre réalité et imaginaire est ténue. En Scène le reçoit (à guichet fermé) le 17 février prochain à 20h à la salle André-Prévost.
Avec Comme une odeur de muscles, le « conteux » nous propose lhistoire dun homme : Esimésac Gélinas. La légende québécoise est peuplée dhommes forts dont on relate les hauts faits, mais elle est aussi peuplée de «sur-hormonés» plus discrets tel Esimésac Gélinas. Timide, tellement, quon nen entendit jamais parler. Pourtant, son histoire à elle seule dépasse, en couenne, la vigueur des plus surprenants. Il faut dire que le personnage en question, déjà entrevu dans Il faut prendre le taureau par les contes, est décrit par Fred Pellerin comme étant « aux alentours de 800 livres de muscles, tellement grand quil devait acheter de la colonne vertébrale en rouleaux de 15 pieds. »
Il a choisi d'être conteur, « conteux », passeur d'histoire, de légendes glanées ici et là chez sa grand-mère, chez le dépanneur de Saint-Elie de Caxton, auprès des anciens dont les âmes sont comme l'écorce des vieux arbres. Fred Pellerin passe à la centrifugeuse toute la tradition du conte pour n'en garder que le nectar. Et la force de ce formidable bonimenteur est, sans être démagogique, de nous raconter des histoires
toujours vraies ! Vingt-six ans seulement et déjà un grand artiste dont le talent est à la mesure de son humanité et de sa modestie : énorme ! Fred Pellerin sort du cadre, tout simplement.
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Pour toutes informations ou réservations de billets, on rejoint léquipe dEn Scène au (450)432-0660. Vous êtes invités à visiter le site Internet pour tout connaître de la programmation 2006-2007 au www.enscene.ca |