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Le samedi 18
à Francyne Chassé, Normand
« Moustique» Leclair (Laval-sur-le-Lac), Claude Beauchamp,
Estelle Bigras (Réjean),
Marie Labelle de la CLD, Gaston Fauvelle et Normand Robert. |
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De l'art un peu spécial.
Amateurs de beaux corps, vous êtes servis à la condition que....
vous aimiez ça.
Je ne suis pas responsable des fantasmes inavoués |
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« Le tact dans l'audace, c'est de savoir
jusqu'où on peut aller trop loin ».
Jean Cocteau né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte, mort le 11 octobre 1963 à Milly-la-Forêt, était un poète français, artiste aux multiples talents, graphiste, auteur de théâtre, cinéaste. Il fut élu à l'Académie française en 1955.
Agé de 19 ans, il fait la connaissance de Raymond Dargelos, un camarade de lycée, qui le bouleverse par sa beauté. Il en fera le héros des 'Enfants terribles'. Arpentant les rues de Paris, Jean Cocteau, véritable dandy, devient une des figures à la mode du Tout-Paris. Sa rencontre avec Serge de Diaghilev va bouleverser son parcours artistique. Cocteau renie ses oeuvres passées, pourtant tant convoitées, et entame une carrière anticonformiste. Malgré un parfum de scandale, son oeuvre est souvent couronnée de succès. Jean Cocteau s'essaie à la poésie, au théâtre, à la critique mais se fait aussi graphiste et cinéaste avec notamment 'La Belle et la Bête' |
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Du bon sang
Un Palestinien est blessé lors d'affrontements. Son état nécessite d'urgence une transfusion sanguine.
Un soldat israélien n'écoutant que son coeur, lui donne de son sang.
Rétabli, le palestinien reconnaissant, lui donne une Rolls Royce.
L'israélien en est tout ému.
Quelques temps plus tard, le même Palestinien est de nouveau blessé lors de heurts avec l'armée coloniale.
De nouveau une transfusion est nécessaire. L'Israélien n'hésite pas, encore une fois, à donner son sang pour le sauver.
A peine remis sur pied, le Palestinien donne en signe de remerciements une VW Golf à l'Israélien.
Ce dernier trouve sympathique le geste.
A une troisième reprise, le Palestinien se blesse grièvement et la transfusion est de nouveau nécessaire pour le sauver.
L'Israélien se dit, « allez jamais deux sans trois, faisons notre devoir d'aider le prochain » et il redonne son sang au Palestinien .
Cette fois, l'israélien reçoit en signe de reconnaissance une vieille 2 CV toute cabossée.
Là l'Israélien va voir le Palestinien et lui dit :
-Dis-moi, la première fois que je t'ai sauvé la vie tu m'as offert une Rolls Royce, La seconde fois une VW et à présent une 2 CV. Je ne vais pas me plaindre, mais pourquoi une telle différence entre les trois voitures?
- Ecoute, mon frère, la première fois j'étais généreux, mais la dernière fois, j'avais déja un peu plus de sang juif dans les veines . |
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Oui, je suis déçu (Daniel Paillé) (Mercredi 1 novembre 1995)
Plus de 400 partisans du OUI envahissaient la salle Guymo lundi soir. Pour répondre à l'affluence, il a fallu fermer très tôt le Comité du OUI de la rue St-Georges. Au même moment, une vingtaine de partisans du NON se retrouvaient à leur comité de la rue deMartigny, entourant une France Pagé, fatiguée et un peu laissée à elle-même.
Last call
Deux heures plus tard, ils seront une cinquantaine aux Aigles pour entendre madame Pagé déclarer: Nous avons travaillé honnêtement et de façon loyale. Si on perd dans le comté, il faut retenir que ces votes qu'on est allé chercher sont importants à Québec. Me Claude Auclair prenait ensuite la parole pour exhorter les siens à continuer dès demain à construire. Nous avons un projet de société à réaliser et il faut le faire. Pour les souverainistes c'était le last call mais non pour les Québécois-Canadiens que nous sommes. Me Auclair déclarait à la presse que les 50.6% ne sont pas en soi une victoire. Notre message n'a pas passé. Les journalistes ont massacré nos conférences de presse ... quand ils étaient là. De plus, la moitié de ceux qui ont voté oui croyaient béatement que leur remboursement d'impôt allait être coupé en deux. Me Auclair a également félicité l'autre camp pour son énorme somme de travail.
Fin de la période
Dans le centre-ville, c'est madame Lucie Papineau qui a d'abord pris la parole. La co-présidente a vite trouvé une allégorie avec le hockey. Pour moi ce n'est que la fin de la période et non de la partie. Je n'ai pas l'intention d'enlever mes patins. Pour remercier l'organisation, madame la coprésidente a poursuivi l'allégorie: Le Canadien a son Mario. On a le nôtre: Mario Fauteux. Celui qui a abattu un boulot fantastique comme organisateur. Le co-président Bernard Morin a ensuite livré un vibrant plaidoyer à la poursuite des efforts. Avec des sanglots dans la voix, il disait: ...ma fille votait pour la première fois. Moi ça fait 30 ans que je lutte pour ce pays. Ca ne me fait pourtant pas vieillir parce que c'est pour elle, pour lui donner la chance de voter pour son pays, que je vais continuer. M. Morin a aussi souligné l'intense solidarité démontrée dans Prévost. Un exemple pour toute la province.
On a fait 63%
Le député de Prévost et ministre Daniel Paillé a poursuivi la veillée avec les siens, son organisation. Même que sa famille, ses parents, son épouse, était venue le rejoindre à Saint-Jérôme. M. Paillé s'est dit déçu des résultats mais réconforté par la qualité du travail démontré par les troupes de l'organisateur Mario Fauteux. D'ailleurs, en allocution devant ses fans, M. Paillé a repris son habitude de laisser le micro à un de ses lieutenants. M. Fauteux en a profité pour remercier ses équipes. Mais aussi pour répéter combien les gens de Prévost croient à leur affaire. A sept heures ce soir, on sautait dans nos voitures pour aller chercher du monde qui n'avait pas encore voté. C'est de cette façon que Prévost a décroché 63% de OUI, autant que le comté de M. Parizeau. Au sujet de son chef (dont on ne connaissait pas encore le départ), M. Paillé précisait: A mon retour à Québec, je lui dirai que nos forces sont encore disponibles et qu'elles sont encore capables d'abattre un boulot extraordinaire.
Comme M. Fauteux, M. Paillé a terminé par un merci. |
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