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Le lundi 20 novembre
Pause Café
Dimanche, 19 Novembre 2006
En guise de blogue.....                À chacun son policier
 
La rage au volant? Vous connaissez pas.  Le jugement d'autrui? Non plus.  Un petit sacre ou deux, tout bas, entre les dents? Jamais.  Un coup de klaxon intempestif? Peut-être par accident.  Un rapport détaillé de l'événement en arrivant au bureau, à l"usine, à la taverne, au bar ou à la maison?  Peut-être mais rarement.    Reprenons notre souffle pour retrouver la suite dans la page suivante
Parce qu'aujourd'hui, si je m'exprime à travers un blogue, on a aussi deux bons amis qui nous retrouvent.  Deux bonshommes qui ont pas mal de vécu dans leurs sphères d'activités et qui viennent nous partager leur science.  
C'est à travers les Chroniques de Plein Air qu'on retrouvera Éric Grignon et Informatique qu'on appréciera Thomas Bouvrette.
Dans le même ordre d'idée, nous avons une autre chronique juridique, signée celle-là par Me Frédéric Savard-Scott du bureau d'avocats Prévost Fortin d'Aoust.
« La puissance ne consiste pas à frapper fort
ou souvent, mais à frapper juste »
Honoré de Balzac, écrivain français (1799-1850), considéré comme le créateur du roman réaliste moderne
Editeur, puis imprimeur et fondeur de caractères typographiques, avant d'être homme de lettres il fut l'homme de «lettres de plomb». Entre 1824 et 1828, il se lança dans les affaires du livre en capitaliste de son temps.  L'aventure tourna court mais nourrit par la suite son œuvre et en particulier son ouvrage «monstre», Illusions perdues, dans lequel il raconte l'histoire de David Séchard, petit imprimeur de province et de son ami Lucien Chandon qui fréquenta le petit monde de l'édition parisienne.
Il conçoit vers 1833 le projet de la Comédie humaine, un grand cycle de romans qui relatèrent les aventures d'une série de personnages unis par les liens du sang ou de l'amitié.
 
Il y en a de l'emploi   jeudi 29 janvier 1998
(J.D.)  -Il arrive assez souvent qu'on entende des commentaires du genre: “J'ai eu des applications mais les candidats veulent gagner 50 000 $ par année en commençant”. Plus souvent encore, les employeurs refusent de s'identifier pour différentes raisons.  On ne peut donc pas en parler.
Quoique on dirait que le vent tourne. Ainsi Robert Huot du Médaillon d'Or a cherché de la main d'oeuvre pour déglacer deux grandes couvertures.  “Ils sont 10 à répondre mais seulement 4 acceptent le travail”Roger Millette des Entreprises Cara à Mirabel s'inquiète aussi sérieusement.  “Bien sûr que la situation n'est pas facile et qu'on doit travailler à des “heures coupées” depuis le départ de ADM.  Mais ce ne sont pas des emplois à dédaigner.  C'est incroyable le peu de candidats que nous arrivons à recueillir malgré des publicités dans les journaux et au Centre d'emploi”.
 
SuiviRoger Millette a évidemment quitté Mirabel.  il est responsable de l'accueil aux salles àa manger du Casino du Lac Leamy à Gatineau. Quant à Robert Huot, il travaille toujours aussi fort aux Médaillons d'Or de Lachute et St-Jérôme

Ce matin on vous offre un brin de poésie. Une légende, dira-t-on, mais une légende qui va faire plaisir è une bonne moitié de notre humanité à nous au 15Nord plus quelques autres.  Évidemment, on pourra un jour, parler de la création de l'homme mais ce sera peut-être moins romantique.  Bonne journée
 
À chacun son policier
 
Vous êtes donc un policier ou une policière.
 
Sûrement pas un vulgaire humain qui se balade en voiture sur nos routes.
 
Remarquez que vous pouvez être un policier pi être humain.  Sauf que réagir de cette façon, c’est un peu leur travail.
 
Quant à nous, il nous faudrait chacun notre policier, à côté (ou en arrière), dans une voiture-fantôme de préférence. 
 
Non, mais, nous regardons-nous conduire?  Là vous allez me dire oui? WoW!
 
Vendredi dernier, le 17 novembre, je me suis offert une balade d’une soixantaine de minutes, je dirais quasiment une heure, entre 11 h et midi, dans les rues de notre Capitale régionale.
1-     Rue deMartigny, direction est au-dessus de la 15Nord (tiens! Tiens!).  Un petit camion (van) bien lettré à Hydro-Québec, roule bien gentiment à gauche et ostensiblement, traverse tout le parcours ligné jaune avant de s’arrêter àa l’intersection Mgr Dubois.
 
2-  Je suis moi aussi arrêté au feu rouge de Mgr Dubois.  En première ligne.  Faut pas être pressé parce qu’un grand 53 (ou 57 pieds) de Formation (CFTR) tourne à gauche en provenance de Mgr Dubois.  Évidemment quand il finir de tourner, ma lumière est verte depuis longtemps.  Surprise, caché derrière le mastodonte, à moins de 5 pieds dudit véhicule, surprise : une madame bien branchée sur son cellulaire (main droite) tourne elle aussi mais sans clignotant et donc sur une lumière plus que rouge.  Heureusement que je partais très lentement (because le camion) parce que j’emboutissais la voiture de madame qui n’a jamais entendu mon vigoureux coup de «criard».
 
3-     Quelques minutes plus tard (le CFTR a tourné à droite sur la rue Gauthier) je suis au feu de circulation de Laviolette.  Tout le monde attend bien patiemment. Un autre mastodonte (mais pas un CFTR), un commercial celui-là, mais avec une rallonge, est en train de manœuvrer pour tourner à droite de deMartigny vers Laviolette.  Bien sûr il y a des voitures arrêtées direction nord sur Laviolette.  Patience….
 
4- Je tourne aussi sur Laviolette, à droite, plusieurs minutes plus tard.  Mon gros camion a eu le temps de disparaître.  Je m’amène donc en direction de la rue Castonguay.  Qu’y vois-je?  Rien de moins que deux camions CFTR, àa quelques pieds l’un de l’autre, qui tournent à gauche direction Laviolette nord en provenance de Castonguay.  Quand on sait que le premier consomme déjà tout le temps d’une lumière verte pour tourner, qu’est-ce qui se passe d’après vous avec le deuxième camion «de formation»?
 
Et là on n’a parlé que de camions, de voitures de service (sauf la petite madame au téléphone, camouflée derrière le camion).  Parce qu’un jour on va parler de nous, les chauffeurs «ordinaires» mais avec le même titre qu’aujourd’hui :  À chacun son policier.
 
C’est possible de me donner des commentaires, faire des remarques, vous disculper avant que je parle de vous…  Voyez plus bas.
Et au plaisir….
J.D.
 
 

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