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Le mercredi 22 novembre
Pause Café
Mardi, 21 Novembre 2006
 
Ce mercredi 22 novembre
à Carole Migneault,
Guillaume Beaulieu,
Lynda Descoteaux (Serge Paquette), Francis Kall Doucet 1977,
Claude Ménard,
Jean-Pierre Belair 1945 et
Gabriel Deschesnes-Castro (Petit Frère Porte du Nord)
 
S'il y a des baby-boomers dans la salle qu'ils se lèvent.
Parce que les baby-boomers devraient tous être morts. 
Ce ne sont pas les images qui le disent, c'est le texte. 
Cliquez et lisez.

« Un livre, c'est un détonateur qui sert à faire réagir les gens ».
Amélie Nothomb, fille de l'ambassadeur et écrivain belge Patrick Nothomb, elle est née au Japon, dans la ville de Kobé, le 13 août 1967.
En 1992, son roman 'Hygiène de l'assassin' est accueilli avec un énorme succès. Frustrée de ne pas être restée au Japon, elle y retourne et retranscrit cette expérience plus que déroutante dans 'Stupeur et tremblements', couronné Grand Prix de l'Académie française en 1999. Ce livre marque une période de retrait médiatique pour l'actrice, qui aime provoquer. Il est adapté au cinéma en 2003, comme son premier succès, 'Hygiène de l'assassin'.

Un jour, un homme est au travail lorsqu'il s'aperçoit que son collègue porte un anneau à l'oreille.  
Cet homme connaît très bien son collègue comme étant le genre plus tôt conservateur, et demeure intrigué par
ce soudain changement de style. 

L'homme s'approche de lui et lui dit 
 ‘je ne savais pas que tu portais des boucles d'oreilles.'

‘Bof....Fais en pas un plat, c'est seulement une boucle d'oreille' répond-t-il timidement…
 
Après quelque minutes de silence, sa curiosité le pousse à lui demander,
 "Dis-moi donc, depuis quand portes-tu ça?  

"Depuis que ma femme l'a trouvée dans mon camion
."
A la Commission scolaire (Rivière du Nord), congédiement de Richard Gosselin       vendredi 1 septembre 1995
Le communiqué de presse signé par le président  de l'assemblée des commissaires d'école, M. Guy Michaud, est fort laconique. A la suite des représentations de M. Gosselin à l'effet d'accepter la décision de la Commission scolaire, les commissaires ont décidé à l'unanimité de résilier le mandat du directeur-général.
 
Il est clair que le refus de démissionner de la part de M. Gosselin oblige la Commission scolaire à respecter un contrat qu'il aurait, selon certaines sources, lui-même libellé. On le nomme “conseiller-cadre” jusqu'à son reclassement éventuel dans un autre poste disponible et compatible avec sa compétence.
 
A l'instar du cas de M. Yvon Robert à l'Académie Lafontaine, les manifestations de non-confiance se sont multipliés dès la publication de la bombe. Sur recommandation d'un comité de sélection, M. Gosselin avait succédé à M. Yves Archambault nommé directeur général de la C.E.C.M. il y a  trois ans. M. Archambault avait lui-même chaussé les bottines de M. Yvon Robert qui se lançait alors à la création de l'Académie Lafontaine, une réalisation qu'on ne pourra jamais lui confisquer peu importe les dossiers actuels.
 
Ce qui ne semble pas être le cas de M. Gosselin que plusieurs intervenants du milieu condamnaient depuis plus d'un an. On en était pas à un affrontement près et selon plusieurs si cette conclusion n'était pas prévue elle était souhaitée.  En moins de 24 heures, des commissaires d'écoles, des cadres et des directions d'écoles se sont manifestés sans équivoque.
 
Suivi:  Et aujourd'hui, l'ADQ dont le nouveau président, M. Gilles Taillon a été professeur à la Commission scolaire RDN avant d'assumer la présidence du Syndicat des enseignants de la dite Commission scolaire, veut réclamer l'abolition pure et simple des commissions scolaires.
 

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