• Leur programme prévoyait « l’embauche de 1 500 spécialistes pour aider les enfants qui présentent des difficultés d’apprentissage »; notre budget accorde un soutien de 12,8 M$ pour ces élèves, ce qui s’ajoute aux 140 M$ déjà consacrés pour l’embauche de 2 600 professionnels.
• Leur programme prévoyait « l’investissement de 400 M$ dans le financement des cégeps et des universités »; notre budget accorde 250 M$ supplémentaires sur 5 ans pour les universités et 150 M$ sur 5 ans pour le développement de la formation professionnelle et technique ainsi que pour l’établissement de nouveaux ponts entre les entreprises et les centres de formation.
• Leur programme prévoyait « bonifier substantiellement le soutien financier et technique aux proches aidants »; notre budget accorde un nouveau crédit d’impôt remboursable de 30 % pour donner un répit aux aidants naturels en plus d’un fonds de 200 M$ sur 10 ans pour le développement de services de répit et d’accompagnement qui leur sont destinés.
• Leur programme prévoyait « abolir, dans les deux ans suivant l’élection, la taxe sur le capital pour toutes les entreprises, à l’exclusion du secteur financier »; notre budget prévoit l’élimination complète de cette taxe pour les entreprises manufacturières, en plus de l’abolition complète déjà prévue pour 2010 pour tous les autres secteurs d’activités.

 « De mon côté, je suis fier que ce budget rassembleur et prudent ait été adopté. Il est à des années lumières des bonnes vieilles solutions péquistes. On le sait, ils l’ont dit, ils auraient sauté sur cette occasion pour taxer davantage les Québécois, notamment en haussant la TVQ », a poursuivi le président.

 « On le voit bien, le PQ a voté contre des mesures qui allaient dans le sens de leurs propres engagements électoraux de 2007. On doit donc comprendre que s’ils ont voté contre ce budget, c’est simplement parce qu’ils ont voulu s’opposer pour s’opposer plutôt que de voter dans l’intérêt des Québécois », a conclu le président régional, M. Rego.